Un leader de Viet Tan victime d’une attaque à l’acide perpétrée par des agents de sécurité vietnamiens

Share on facebook
Share on google
Share on twitter
Share on whatsapp
Share on email
Share on print
Share on facebook
Share on google
Share on twitter
Share on whatsapp
Share on email
Share on print

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

14 septembre 2017

Contact : Duy Hoang +1 202 596 7951

Washington, DC – À Phnom Penh, au Cambodge, des agents de sécurité vietnamiens ont attaqué quatre militants vietnamiens, dont un dirigeant de Viet Tan.

Le 2 septembre 2017 vers 22 heures, des agents de sécurité vietnamiens roulant sur des motos ont jeté de l’acide sur les quatre personnes alors qu’ils marchaient dans la rue. Nguyen Ngoc Duc, membre du Comité de Direction de Viet Tan, a été grièvement blessé et transporté en France pour traitement médical. Il est actuellement dans un état stable. Les trois autres personnes ont subi des brûlures plus légères et se remettent actuellement.

Nguyen Ngoc Duc, né en 1955, est un ingénieur informaticien basé en France. C’est un membre de Viet Tan de longue date et un formateur à l’action stratégique non violente.

Au cours des dernières années, les autorités vietnamiennes ont eu recours à des menaces, des actes d’intimidation et de la violence physique pour faire taire les militants et les défenseurs des droits de l’homme. Que ce soient les agressions perpétrées par des voyous aux ordres de la police ou les harcèlements par les forces de sécurité, le gouvernement vietnamien agit impunément. Avec les récentes attaques sur le sol étranger, les autorités vietnamiennes violent également les lois internationales.

Viet Tan condamne ces actes de terreur commandités par l’état vietnamien. Nous demandons à la communauté internationale de tenir le gouvernement de Hanoi responsable de cette dernière violation flagrante des droits de l’homme.

###

Share on facebook
Share on google
Share on twitter
Share on whatsapp
Share on email
Share on print

Derniers articles

Action collective pour les îles Paracel et Spratly

Aujourd’hui, la communauté internationale s’accorde à dire que la République populaire de Chine mène des actions de plus en plus agressives dans la région indo-pacifique, notamment en mer de Chine méridionale. Ces hostilités ont commencé il y a 49 ans avec l’invasion chinoise des îles Paracels (Hoàng Sa) le 19 janvier 1974,